La succube : ton plus beau cauchemar

La succube : ton plus beau cauchemar

 

Quelques nuits plus tard, tu avais du mal à trouver le sommeil. Tu as quitté ton lit pour sortir sur la terrasse et profiter de l’air frais et du silence de cette nuit d’été. Le calme fut rompu par une soudaine rafale de vent virevoltant autour de toi, te poussant à fermer les yeux jusqu’à ce qu’elle s’apaise. En les rouvrant, tu avais aperçu la silhouette parfaitement dessinée d’une femme lévitant dans le ciel étoilé. La silhouette se mit à battre de ses puissantes ailes en ta direction et atterrit en face de toi. À cet instant, tu remarquas à quel point cette étrange créature était sublime.

 

Elle était presque nue et te regardait avec un sourire suggestif. Ses yeux vert émeraude brillant de désir, elle s’adressa à toi : “Parfait ! Il semble que je sois bien à l’endroit que Celia m’a indiqué ! Cette fille… quel ange ! Elle sait toujours où trouver les plus beaux mecs, et elle est toujours prête à les partager avec moi.”

 

“Qu’est-ce que tu es ?” demandas-tu, subjugué par son incroyable beauté. “Et comment est-ce que tu connais Celia, cette divine jeune femme que je n’ai rencontrée que dans mes rêves les plus torrides ? Tu lis dans mon esprit ou quoi ?”

 

“Reste poli, beau gosse ! Demander “qu’est-ce que tu es” n’est pas une très jolie manière de débuter une conversation avec une dame !”, répondit-elle d’un ton cinglant. Elle fit quelques pas vers toi et ajouta en souriant : “Mon nom est Gladys, et je suis une succube. Je connais Celia depuis des milliers d’années. Elle est ma meilleure amie et la fille la plus serviable que j’ai jamais rencontrée. Je sais que je peux me fier à elle dès qu’il s’agit de trouver de beaux et torrides jeunes hommes. Crois-moi, ses goûts en la matière sont irréprochables et tu es tellement… sexy et mignon à la fois, mon cher, que je… gouterais volontiers chaque centimètre de ton corps.”

 

Les yeux fixant ses seins rebondis, tu ne pus t’empêcher de sentir l’excitation monter en toi. Ton entrejambe gonfla à vue d’œil et les tétons de Gladys pointèrent de manière évidente. “Alors… tu veux coucher avec moi ?” demandas-tu franchement pour t’assurer que tu avais bien compris cette étrange situation. Après tout, une succube torride ne passe pas tous les jours sur ton balcon pour te dire que tu es sexy alors qu’il t’est impossible de quitter des yeux sa poitrine.

 

“Oui, mon beau, répondit-elle sans hésiter en rejetant en arrière ses cheveux d’un orange de feu. Pourquoi penses-tu que j’aie volé sur des milliers de kilomètres pour venir te voir ?”

 

“À vrai dire, je n’arrive toujours pas à croire que tu es réelle, ou que Celia est réelle. Je sais pas si je suis éveillé ou endormi, si je fais du somnambulisme ou de la somnambaise…”

 

“Je suis bien réelle. Je suis une véritable succube, mon chou, et tu es un homo sapiens mâle. Ce qui signifie que… je peux absorber ton énergie vitale en te faisant jouir.”

 

“Mon énergie vitale ? Donc, si je te baise, tu me couperas littéralement le souffle et je risque de claquer ?”

 

“C’est une possibilité, répondit-elle en caressant sa généreuse poitrine et en mordant sa lèvre inférieure rouge écarlate. Mais ne t’en fais pas, à l’inverse de la plupart des homo sapiens mâles, tu as un ange gardien qui protège ta puissante queue et ta vie de mortel. Tu sais, Celia garde l’œil sur toi lorsque tu as la gaule.”

 

“Celia, lumière de ma vie, enflamme-moi, mais ne laisse pas cette érection être ma dernière ! Ne me laisse pas mourir ici, je t’en prie ! Je ne veux pas déjà quitter ce monde, et pourtant, je rêve de baiser cette sublime jeune femme !” prias-tu intérieurement.

 

“Baise-la assez longtemps pour lui donner un orgasme. Concentre-toi sur des pensées non sexuelles. Et souviens-toi, fais-la jouir avant toi !”, les mots de Célia résonnèrent dans ton esprit.

 

“Prends-moi, beau gosse”, chuchota Gladys à ton oreille alors que sa main guida ta queue en érection vers sa fente aussi serrée que mortelle. Tu sentis ton énorme membre fermement capturé. Elle s’accroupit sur toi dans un gémissement de plaisir. Une fois ta longue queue entièrement en elle, Gladys commença à rebondir sur toi, de haut en bas.

 

“Il faut que je pense à quelque chose qui m’empêche de jouir à en mourir !”, crias-tu en ton fort intérieur. Tu fermas les yeux et commenças à penser aux demi-finales de Roland-Garros, à la dernière bière dans ton frigo, à la somme qu’il te reste sur ton compte en banque, à la racine carrée de 678, à ce qui provoque le ronflement, au sens de la vie… En rouvrant les yeux, tu vis un tatouage sur son ventre qui t’était invisible jusqu’alors. On y lisait “Memento mori”. Oui, comment oublier que l’on est mortel dans un moment pareil ?

 

C’est alors que tu l’attrapas par la taille et la plaças sous toi. Elle gémit bruyamment lorsque tu t’enfonças puissamment dans sa chatte pulpeuse. À cet instant, impuissante et suffocante, Gladys fut incapable de résister à ton emprise. Ses seins remuèrent à chacun de tes coups de reins et ses gémissements se transformèrent en cris de plaisir. Elle perdit le contrôle de son corps ruisselant de sueur et tremblant de plaisir sous le choc du premier orgasme de sa vie.

 

“J’y crois pas, je l’ai fait ! Je suis en vie et tu es trempée de mouille !!! Tu as joui avant moi !” t’exclamas-tu avec joie. “Merci, Celia ! J’ai pris ce risque et désormais, je me sens plus en vie que jamais !”

 

 

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